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Séminaire SÉMINAIRE INFORMATIQUE MULTI-THÈMES, INSCRIVEZ-VOUS!

Cerberis participera prochainement aux séminaires organisés par Axone Groupe. Différentes solutions innovantes vous seront présentées, le tout, autour de trois thématiques : la gouvernance et sécurité des données, la gestion de salles de réunion et vidéoconférence, ainsi que les coulisses des services managés.

Le 14 octobre 2014 à Grenoble
Le 21 octobre 2014 à Lyon

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Bonne lecture.

Joris


Dans le feuilleton de la vente d’Euriware, tout se déroule pour l’instant selon le scénario prévu par Areva. Convoquées aujourd’hui en CCE, les instances se sont fait confirmer par la direction d’Euriware que le repreneur de la société serait bien Capgemini. L’autre information du jour, c’est que le maintien de l’entité juridique Euriware durerait au maximum deux ans, le temps que la renégociation des statuts avec les instances aboutissent.

Seule certitude : les prestations assurées pour le compte d’Areva seront garanties par contrat pour une durée de 10 ans. Une bonne nouvelle pour la moitié de l’effectif. L’autre moitié, qui dépend des activités hors-groupe, n’a aucune garantie que les emplois et les sites seront maintenus dans le temps.

Un nouveau CCE se tiendra mardi 22 octobre à l’occasion duquel Capgemini présentera son projet détaillé. « Euriware s’achemine vers un scénario à la GFI BUS, avec une entité héritée de Thales qui se vide de son contenu au fur et à mesure des renégociation de statut », prophétise un élu, amer. La CGT, qui a conçu un projet alternatif, réclame sans succès que celui-ci soit examiné par l’actionnaire d’Euriware.

 

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Joris


Le cabinet du Premier ministre vient de faire parvenir aux équipes gouvernementales une circulaire rappelant les règles de sécurité mobile à respecter lors d’échanges de données sensibles, classées confidentielles. Cette situation, beaucoup d’entreprises la vivent au quotidien. Travailler depuis ses propres terminaux mobiles devient tellement facile et pratique que les collaborateurs ne se rendent plus compte que le moindre oubli de son téléphone portable dans un lieu public par exemple, peut mettre en péril l’activité de toute l’entreprise : le BYOD et la mobilité, signes de progrès, sont-ils devenus les ennemis n°1 de l’entreprise ?

Les fuites de données peuvent impacter l’activité commerciale : 85% des entreprises mettraient fin à leur contrat avec un prestataire ou un fournisseur qui égarerait leurs données.
(Unisys Security Index: résumé mondial 18 octobre 2011). L’angoisse du BYOD est omniprésente. 52% des entreprises pensent en effet que l’inattention des employés représente une faille pour la sécurité de leurs données sensibles (enquête Worldwide Security Products réalisée par Kaspersky et IDC en juin 2013). Les employés se soucient peu de déclarer la disparition d’un appareil mobile. 19% attendent au moins trois ou quatre jours avant de signaler une perte ou un vol (enquête réalisée par TNS Infratest pour Kaspersky Lab en janvier 2013).

Pour les experts de Kaspersky Lab, la sécurité ne doit pas être un frein dans l’implémentation du BYOD, mais doit faire partie intégrante de la stratégie interne choisie par les organisations : « Il n’est jamais inutile de rappeler les risques inhérents à la consultation de données sensibles sur des appareils mobiles qui n’ont pas été spécifiquement équipés pour cet usage, comme l’a fait le gouvernement. Si l’on ne souhaite pas voir se multiplier les fuites et les vols d’informations sensibles, le BYOD implique de respecter certaines règles qui doivent être connues de tous. Cependant, il ne faut pas que l’obsession sécuritaire soit un obstacle à la flexibilité. Le BYOD s’est développé avec la démocratisation de certains usages et il répond à un véritable besoin. C’est pourquoi, plutôt que d’interdire l’usage des téléphones personnels dans le cadre professionnel, il faut sécuriser leur utilisation avec des solutions performantes, au-delà du simple antivirus, et surtout développer un programme de sensibilisation sur le sujet, à grande échelle. » explique Tanguy de Coatpont, Directeur Général de l'éditeur.

 

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Joris


Ce matin, Microsoft et Nokia ont annoncé un accord via lequel l'éditeur de Redmond entend racheter la division mobile du constructeur finlandais pour 5,4 milliards d'euros (7,2 milliards de dollars). Depuis 2011, les deux parties travaillent très étroitement sur la gamme des smartphones Lumia équipés de Windows Phone, quel est donc l'intérêt de ce rachat pour Microsoft ? 

La nouvelle est tombée un peu plus d'une semaine après que Steve Ballmer a annoncé sa démission dans les 12 prochains mois. S'agit-il d'un projet de longue date concrétisant les nombreuses rumeurs ou d'un revirement de situation ? C'est en tout cas de l'une des plus grosses acquisitions effectuées par Microsoft aux côtés de Skype racheté pour 8,5 milliards de dollars et aQuantive pour 6,3 milliards dollars.

Microsoft - Nokia

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